Directorate of Internment Operations

Available reels: 32

Document Record

Creator
Canada. Dept. of National Defence. Directorate of Internment Operations
Title
Directorate of Internment Operations
Direction des opérations d'internement
Identifier
MIKAN: 133671
Reels/Bobines: T-7020 to T-7057
Archival Reference/Référence Archivistique: RG 24 C 5
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Subject
Government
Military
Health and medicine
Foreign relations
Genealogy
Gouvernement
Militaire
Santé et médecine
Relations extérieures
Généalogie
Document source
Library and Archives Canada / Bibliothèque et Archives Canada
Notes
1939/1945
Language
English
Description
The Department of Militia and Defence was the department responsible for Canadian military forces from 1906 to 1921, and the Minister of Militia and Defence was in charge of this department. Before this period, from 1855 to 1906, the Minister of Militia and Defence was responsible for Canadian militia units only, as the British Army was still stationed in Canada. When the British Army withdrew from Canada in 1906, the department became the overseer of all Canadian land forces. In 1921, the Royal Canadian Navy was transferred to this department, so it was renamed the Department of Militia and Defence and the Naval Service. In January 1923, the department name was changed to the Department of National Defence as a result of the prior amalgamation of Naval Services, Militia and Defence, as well as the merger of the Air Board into the department.
During the Second World War, the Minister of Justice could detain anyone acting "in any manner prejudicial to the public safety or the safety of the state." Thus both enemy nationals, such as Germans, Italians and Japanese peoples. and Canadian citizens were subject to internment. The army and the Secretary of State shared administrative responsibility for internment camps in Canada during the war, and these camps operated in Ontario, Quebec, Alberta and New Brunswick. Citizens could also be interned for belonging to outlawed organizations such as the Communist Party, so some felt that internment was used as a weapon against labour leaders.
This collection consists of subject files created and retained in the office of the Director of Internment Operations which relate to the internment in Canada of German and Italian prisoners of war and of Canadian residents whose loyalty was suspect during the Second World War. In addition to policy files, there are inspection reports and returns as well as files relating to welfare matters, complaints and intelligence. The series also contains pay documents, medical documents and an alphabetic index of prisoners of war and internees on microfilm (see reels T-7020 to T-7057). These constitute a finding aid to other internment records as they indicate the camps in which the prisoners were held.
De 1906 à 1921, le ministère de la Milice et de la Défense était responsable des forces militaires canadiennes. Ce ministère était placé sous l'autorité d'un ministre de la Milice et de la Défense. Auparavant, soit de 1855 à 1906, le ministre de la Milice et de la Défense était uniquement responsable des unités de milice canadiennes, puisque l'armée britannique était toujours stationnée au Canada. Lorsque l'armée britannique a retiré ses forces du Canada en 1906, le ministère fut chargé de l'administration de toutes les forces terrestres du Canada. En 1921, la Marine royale canadienne passa sous la juridiction de ce ministère qui adopta alors le nom de ministère de la Milice et de la Défense et du Service naval. En janvier 1923, le ministère fut renommé ministère de la Défense nationale en raison de la fusion entre le ministère de la Milice et de la Défense et le Service naval, mais aussi de sa fusion avec le Conseil de l'Aéronautique canadien.
Durant la Seconde Guerre mondiale, le ministre de la Justice pouvait incarcérer tout individu soupçonné d'agir « de manière préjudiciable à la sécurité publique ou la sécurité de l'État ». Ainsi, autant les ressortissants ennemis, comme les Allemands, les Italiens et les Japonais, que les citoyens canadiens pouvaient être internés. Durant la guerre, l'armée et le secrétaire d'État se partageaient la responsabilité administrative des camps d'internement canadiens situés en Ontario, au Québec, en Alberta et au Nouveau-Brunswick. Des citoyens soupçonnés d'appartenir à une organisation illégale, telle que le Parti communiste, risquaient aussi être incarcérés, ce qui donnaient à certains l'impression que l'internement était utilisé comme une arme contre les dirigeants syndicaux.
Cette collection contient des dossiers thématiques créés et conservés dans le bureau du directeur des opérations d'internement. Ces dossiers se rapportent à l'internement, au Canada, de prisonniers de guerre allemands et italiens et de résidents canadiens dont la loyauté a été mise en doute au cours de la Seconde Guerre mondiale. En plus des dossiers sur les politiques, on y trouve des rapports et des relevés d'inspection, ainsi que des dossiers se rapportant à des questions de bien-être, aux plaintes et aux informations. La série contient également des documents relatifs à la rémunération et aux soins médicaux, ainsi qu'un index alphabétique des prisonniers de guerre et autres personnes internées (voir les bobines de microfilm T-7020 à T-7057). Ces pièces constituent un instrument de recherche pour d'autres dossiers d'internement puisqu'elles indiquent les camps dans lesquels les prisonniers étaient détenus.
URL
https://heritage.canadiana.ca/view/oocihm.lac_mikan_133671