Kingston Penitentiary
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Document Record
- Creator
- Kingston Penitentiary
- Title
-
Kingston Penitentiary
Pénitencier de Kingston : registre de descriptions des détenus - Identifier
-
MIKAN: 134807
Reels/Bobines: T-1943 to T-1992, T-1997, T-2000 to T-2009, T-2023
Archival Reference/Référence Archivistique: RG 73 C 6, R942-28-X-E, R942-28-X-F
oocihm.lac_mikan_134807
lac_mikan_134807 - Subject
-
Genealogy
Government
Law and justice
Health and Medicine
Généalogie
Gouvernement
Droit et justice
Santé et médecine - Document source
- Library and Archives Canada / Bibliothèque et Archives Canada
- Notes
- 1834/1994
- Language
- English
- Description
-
Kingston Penitentiary was Canada’s first large prison, opened in Kingston, Upper Canada, in June 1835. It was designated to serve Upper and Lower Canada by the Act of Union in 1840 by incarcerating prisoners of both provinces. Until 1934, female prisoners were originally housed in segregated quarters in the penitentiary. The prison had opened with great hopes of solving the problem of crime and criminals, but it was plagued with problems throughout its lifetime. One case reported in the 1849 Brown Report is of Peter Charboneau, an 11-year-old boy who was committed to Kingston prison for seven years in 1845, but was lashed 57 times in nearly nine months in jail for offenses such as staring, winking and laughing. In 1867, the government of Canada became responsible for the maintenance and management of the Provincial Penitentiary at Kingston by virtue of Section 91 of the British North America Act. The penitentiary was authorized to receive offenders sentenced to terms of more than two years from Ontario and Quebec, and came under the jurisdiction of the Department of Justice. In the 20th century, the prison was the site of two major riots in 1954 and 1971, and housed some of the most notorious and dangerous criminals in the country, including Paul Bernardo and Clifford Olson. In 1990, Kingston Penitentiary was designated a National Historic Site of Canada. The jail finally closed in September 2013, and, up until that time, it was one of the oldest prisons in continuous use in the world.
This collection consists of records created and accumulated at the Kingston Penitentiary. These records include: inmate history description ledgers (1886-1954); inmate personal effects ledgers; the Warden's letter books and daily journals; Inspector's minute books and letter book; liberation books; punishment books; duty rosters; daily reports of Keepers and Guards; and various medical registers.
Première grande prison du Canada, le pénitencier de Kingston a ouvert ses portes à Kingston, Haut-Canada, en juin 1835. En vertu de l'Acte d'Union de 1840, il était appelé à desservir le Haut et le Bas-Canada en incarcérant des prisonniers originaires de ces deux provinces. Jusqu'en 1934, les femmes détenues étaient incarcérées dans des locaux séparés dans le pénitencier. Au moment de son ouverture, cette prison nourrissait de grands espoirs pour la résolution des problèmes liés à la criminalité et aux criminels, mais elle a dû affronter toutes sortes de problèmes tout au long de son existence. Un des cas évoqués dans le Rapport Brown de 1849 concerne Peter Charbonneau, un enfant de 11 ans condamné, en 1845, à une peine de sept ans à purger dans la prison de Kingston. Il se serait fait fouetter 57 fois durant une période de près de neuf mois pour diverses infractions, notamment pour avoir dévisagé quelqu'un, pour avoir fait un clin d'œil et pour avoir ri. À partir de 1867, le gouvernement du Canada a assumé la responsabilité de la gestion et de l'entretien du pénitencier provincial de Kingston conformément à l'article 91 de l'Acte de l'Amérique du Nord britannique. Autorisé à recevoir des détenus de l'Ontario et du Québec condamnés à des peines de plus de deux ans, le pénitencier fut placé sous la juridiction du ministère de la Justice. Au XXe siècle, deux violentes émeutes éclatèrent entre ses murs, l'une en 1954 et l'autre en 1971. Cette prison a abrité quelques-uns des criminels les plus célèbres et les plus dangereux du pays, notamment Paul Bernardo et Clifford Olson. En 1990, le pénitencier de Kingston a été désigné lieu historique national du Canada. Il a finalement fermé ses portes en septembre 2013. Il était alors considéré comme l'une des plus vieilles prisons utilisées en permanence dans le monde.
Cette collection renferme les documents créés et tenus par le pénitencier de Kingston. Ces documents sont constitués entre autres de registres décrivant l'histoire des détenus (1886-1954), de registres listant les effets personnels des détenus, de registres de lettres et de journaux quotidiens rédigés par le directeur de l'établissement, de procès-verbaux et d'un registre de lettres de l'inspecteur, de registres de libération et de punitions, de registres de service, de rapports quotidiens rédigés par les gardiens et de divers registres médicaux. - URL
- https://heritage.canadiana.ca/view/oocihm.lac_mikan_134807